La Jeune Chambre Economique de Nantes Métropole Sud Loire

Jeune Chambre Economique Nantes Metropole Sud Loire

PRESENTATION

La Jeune Chambre Économique de Nantes Métropole Sud Loire, anciennement JCE de Rezé et Sud Loire, a été créée en 1993 et est affiliée à la Jeune Chambre Économique
Française et donc à la Jeune Chambre Internationale.
Elle constitue une véritable école d’apprentissage a la prise de responsabilités et
offre à chaque adhérent l’opportunité de devenir un acteur citoyen au service de la Cité.
La Jeune Chambre Economique de Nantes Métropole Sud Loire regroupe
aujourd’hui 30 membres ainsi qu’une quinzaine d’observateurs et postulants. Elle est
présidée en 2012 par Ronan QUERE.

NOS ACTIONS 2012

En 2012, notre Jeune Chambre se concentre sur 7 actions :

  • La commission « 44 Produits Made In Loire-Atlantique » : Valoriser la richesse industrielle de notre territoire à travers 44 produits fabriqués par des entreprises de LoireAtlantique.
  • La commission « Business Affinity » : Permettre aux jeunes entrepreneurs (entre 18 et 40 ans) de participer à un challenge afin de bénéficier, notamment, d’un local professionnel à prix réduit.
  • La commission « Black Night » : Organiser une soirée de sensibilisation au handicap visuel.
  • Le Concours Régional de l’Entreprise Innovante
  • La Commission « Capital Inter Entreprises » : Créer un fonds d’investissement solidaire entre plusieurs entreprises d’une même zone géographique afin qu’elles puissent l’utiliser pour financer des projets d’investissement.
  • La commission « Entreprendre au Collège » : Travailler pour une meilleure mise en relation des jeunes collégiens avec le monde de l’entreprise.
  • La commission « Toile 2 Vert »

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La Jeune Chambre Economique Française

Capture

PRÉSENTATION

La Jeune Chambre Economique Française est un mouvement international de jeunes citoyens entreprenants (cadres, chefs d’entreprises, responsables, etc.) qui s’impliquent pour l’avenir de leur cité en menant des actions civiques basées sur des valeurs de liberté d’entreprise, de respect de la loi et de valorisation de la personne humaine.

La Jeune Chambre Economique Française est une association loi 1901 présente sur l’ensemble du territoire français. Sa vocation et la réalité des actions menées lui valent le statut d’association reconnue d’utilité publique.

La Jeune Chambre Economique Française est reconnue d’utilité publique par le décret du 10 juin 1976. La Jeune Chambre Economique Française est membre de la Jeune Chambre Internationale.

ORGANISATION

La Jeune Chambre Economique Française se compose des 150 Jeunes Chambres Economiques Locales présentent sur tout le territoire français métropolitain et d’outre mer.

Chaque Jeune Chambre Economique Locale mène ses actions dans l’esprit et selon la vocation du mouvement qui est d’impacter la communauté.

Dans chaque Jeune Chambre Economique Locale, les membres travaillent au sein de commissions selon une méthodologie de conduite de projet à laquelle ils sont formés en interne : enquête, analyse, planification, action, évaluation et transmission.

Chaque association locale est administrée par des membres élus chaque année. Tous les mandats élus durent un an. Le mouvement offre ainsi la possibilité à chacun de ses membres de prendre des responsabilités et d’élargir ses compétences dans différents domaines (formation, ressources humaines, communication, programme, international…). Chacun accède à un niveau croissant de responsabilité et de décision. La Jeune Chambre Economique Française remplit ainsi son rôle d’utilité publique en menant des actions utiles à communauté et en formant ses membres au sens l’intérêt collectif. Après leur parcours à la Jeune Chambre, de nombreux anciens membres s’engage à nouveau dans la vie publique, civique et politique. La Jeune Chambre Economique Française est gérée par un Conseil d’Administration composé de 12 membres élus chaque année avec un programme lors du Congrès national.

MISSION

La vocation de la Jeune Chambre Economique Française est de contribuer au progrès de la communauté mondiale en donnant aux jeunes l’opportunité de développer leurs talents de leaders, la prise de responsabilité sociale, l’esprit d’entreprise et la solidarité nécessaires pour créer des changements positifs.

Les membres Jeune Chambre imaginent et réalisent des projets au service de leurs cités, dans tous les domaines : social, économique, culturel, communautaire… Citoyens responsables, ils sont conscients de la difficulté de vivre en paix et en justice. Agés de 18 à 40 ans, ils se forment à la prise de responsabilité dans le respect de valeurs humanistes – La foi dans l’Homme et dans le progrès de la communauté mondiale
– La liberté de l’individu et de l’entreprise, garante de la justice économique
– La solidarité internationale, car « la fraternité humaine transcende la souveraineté des nations »
– Le respect de la personne humaine, « la plus précieuse des richesses »
– Le respect des lois, la lutte contre l’arbitraire
– La valeur de l’engagement et la noblesse de l’action au service de la communauté.

Optimiser les déplacements et transports

Transports de marchandises

  • Faire appel à des fournisseurs locaux pour s’approvisionner en matières premières
  • Faire appel à des transporteurs locaux pour expédier sa production

Optimiser les transports, créer un collectif entre entreprises de même zone ou activité, et objectif de promotion de l’économie locale.

 

 Transports humains

  • Mettre en place des systèmes/bornes de covoiturage

L’optimisation des déplacements passe de manière simple par le recours au covoiturage. La mise en place de bornes par l’entreprise ou même par plusieurs entreprises d’une même zone encourage l’utilisation de ce type de solutions, et crée de réelles économies pour les salariés. Certes, ce ne sont pas des économies imputables directement à l’entreprise mais les salariés seront davantage sensibilisés aux mesures prises par l’entreprise et  la politique environnementale adoptée. Par ailleurs, les déplacements professionnels peuvent également être optimisés grâce une communication entre les différents services ou entre les entreprises géographiquement proches plus accentuée.

  • Impliquer les salariés au recours aux transports en commun, covoiturage etc.

Qui dit implication des salariés au recours aux solutions de transports plus écologiques, dit avant tout sensibilisation. Aussi, c’est à l’entreprise d’initier et apporter des solutions simples et efficaces : permettre une communication inter-services pour un regroupement des salariés de même zone géographique (via un annuaire, une cartographie), assurer une meilleure visibilité des transports en commun desservant la zone d’activité de l’entreprise etc. D’autant plus que ce type de mesure permet de créer une véritable cohésion de groupe et de révéler l’esprit d’entreprise.

Valoriser le capital humain

Favoriser le développement des compétences (et s’appuyer sur compétences internes)

  • Mettre en place des formations à destination des salariés et informer sur les modalités d’accès (recours au DIF etc.)

Le but de cette mesure est pour l’entreprise d’impliquer davantage les salariés et leur donner l’occasion de développer leurs compétences au service de leur entreprise. Trop peu de salariés connaissent et maîtrisent les modalités d’accès aux mesures de formations dont ils peuvent bénéficier. Cette démarche de communication en leur offrant une meilleure visibilité sur les dispositifs existants et de promotion en les encourageant à les utiliser, est donc un véritable levier pour valoriser les salariés et favoriser le développement de compétences.

  • Assurer une information sur les critères et modalités des évaluations professionnelles et des promotions

Etre transparent sur les modalités d’évaluations des salariés permet d’assurer une meilleure compréhension sur l’intérêt et la nécessité de ces évaluations. Pour cela, il est donc recommandé de communiquer sur le contenu même de ces rendez-vous annuels, à savoir les sujets évoqués, les critères d’évaluation, les droits des salariés à revendiquer etc.  De même,  au-delà de favoriser le développement de compétences, l’entreprise se doit d’être transparente également sur les critères d’évolutions et de promotions, afin d’impliquer davantage les salariés et surtout leur permettre de disposer des informations nécessaires leur permettant de mieux envisager leur avenir et perspectives dans l’entreprise.

Développer la communication interne

  • Assurer une transparence du système de décision et de contrôle

Afin de sensibiliser et intégrer les salariés dans la stratégie de l’entreprise, il convient de les informer sur les modalités de prise de décisions à travers notamment un organigramme formalisé et diffusé, une communication sur les décisionnaires et les actions stratégiques en cours. Le but étant d’assurer une visibilité et une meilleure connaissance de la hiérarchie afin d’intégrer de manière indirecte les salariés dans le processus de décision et les impliquer dans la stratégie suivie par l’entreprise.

  • Organiser, suivre et communiquer dans l’entreprise sur les actions mises en œuvre

Même si c’est la direction qui acte les décisions stratégiques, celles-ci impliquent toutes les fonctions de l’entreprise et donc l’ensemble des salariés. Seule la direction peut donc s’assurer de leur mobilisation. Aussi une bonne communication interne sur les plans d’actions mis en œuvre s’avère nécessaire et demeure une condition essentielle de réussite. A ce titre, il convient de s’assurer de l’appropriation de la démarche par l’ensemble du personnel et évaluer l’application des bonnes pratiques. Pour cela, de nombreux moyens sont envisageables : affichages, réunions, communication orale, mise en place d’outils de suivi  (tableaux de bord, bilans annuels pour communiquer sur les résultats obtenus), etc.

Réduire les impacts environnementaux

Collecte, recyclage et traitement des déchets

  • Mettre en place des bacs récupérateurs, bornes de collecte (piles, cartons)

De nombreux dispositifs de tri existent aujourd’hui. Mais encore bon nombre d’entreprises ne sont pas équipées pour effectuer un traitement des déchets efficace et sélectif. Aussi, sans engendrer des investissements lourds, il suffit de mettre à disposition des bacs récupérateurs et bornes de collecte dédiées pour chaque catégorie de déchets : papier, carton, ordures ménagères, piles etc. Par exemple, adopter un code couleur par bac permettrait non seulement de différencier les catégories et faciliter le tri pour chacun, mais également d’éviter les erreurs de tri.

  • Organiser une gestion collective des déchets

Afin de faciliter la collecte et le traitement des déchets, une solution efficace est de créer un collectif. Le but étant de regrouper les entreprises d’une même zone d’activité ou d’un même secteur géographique produisant des déchets similaires et ayant une volonté de s’associer pour retenir un prestataire commun. A ce titre, la valorisation et le traitement du déchet est optimisée et les entreprises agissent ensemble dans une même volonté de bonne pratique environnementale.

Maîtriser la consommation de matières premières

  • Utiliser des matières premières recyclées

Au-delà de s’investir dans le traitement et la collecte de déchets, agir pour l’éco-conception implique également d’agir en amont, à savoir privilégier l’utilisation de matières premières recyclées. Que ce soit pour la fabrication des produits de l’entreprise, l’achat de fournitures etc.

  • Optimiser le conditionnement

L’optimisation du conditionnement passe avant tout par une réduction des suremballages ou emballages non indispensables. Pour cela, une solution demeure de créer un collectif avec d’autres entreprises du même secteur ou de même activité ayant les mêmes besoins, et ainsi passer des commandes communes.

Par ailleurs, ces déchets provenant principalement des fournisseurs, cela passe essentiellement par une négociation afin de réduire ces emballages, voire même envisager la reprise des emballages pour recyclage et réutilisation.

Contrôler les dépenses énergétiques

Eau (gestion des consommations)

  • Mettre en place des systèmes de fermeture automatique pour tous les robinets

Afin de mieux gérer la consommation d’eau en entreprise, il convient d’installer des systèmes de fermeture automatique sur les robinets, commandée sur un temps d’écoulement donné ou au travers de détecteurs (mains/genoux), et ainsi éviter les surplus de consommation inutiles et coûteux.

Par ailleurs, l’utilisation de robinets à moyenne pression peut également permettre une réduction de la consommation.

  • Effectuer un entretien régulier des installations

Les installations de robinetterie nécessitent un entretien régulier. En effet, remplacer les joints, nettoyer les résistances, effectuer un détartrage des installations sont autant d’actions qui assurent une meilleure qualité et permettent d’éviter les fuites et dysfonctionnements engendrant des surconsommations.

Electricité (ampoules base consommation, contrôle des températures, isolation…)

  • Dépenses visibles

Ces dépenses concernent celles qui sont visibles par tous et sur lesquelles nous pouvons donc agir directement. A savoir, penser à éteindre le parce informatique de l’entreprise en fin de journée après utilisation (et éviter le simple mode « veille »), éteindre les lumières dans les pièces non occupées, mettre en place des ampoules basse consommation etc. Il s’agit d’autant de petits gestes anodins accessibles par tous, mais qui permettent à terme de réduire de manière les dépenses énergétiques.

  • Dépenses invisibles

Ces dépenses quant à elles concernent celles que l’on ne voit pas directement et que l’on ne constate souvent que sur la facture. C’est à l’entreprise d’effectuer les installations nécessaires, par exemple s’assurer d’une bonne isolation thermique des locaux (mise ne place d’un double vitrage), vérifier l’étanchéité des murs, mettre en place une régulation des températures, etc. En effet disposer d’installations équipées et renforcées nécessité certes un investissement de départ mais assure des économies sur le long terme.